Monseigneur Rougé, évêque de Nanterre, exprime avec émotion l'importance de ce jour où Notre-Dame de Paris rouvre ses portes pour célébrer une première messe depuis sa restauration. Il souligne la dimension spirituelle et universelle de cet événement, marqué par la consécration du nouvel autel et la participation de nombreux fidèles, ainsi que de personnalités du monde entier.
À la veille de la ré-ouverture de Notre-Dame, Mgr Matthieu Rougé est invité à parler de la lueur de lumière que redonne ce monument à l'Eglise catholique française.
Ce synode était espéré par certains ou redouté par d’autres comme une révolution, qui bouleverserait de fond en comble les structures et les fonctionnements ecclésiaux...
''La Toussaint est d’abord la célébration de tous les saints réunis, connus ou moins connus, c’est-à-dire la fête de la plénitude de la vie à laquelle nous sommes tous appelés'' évoque l'évêque de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé.
À la veille de la commémoraison des défunts le 2 novembre, l’Église doit réfléchir à la manière de mieux associer tous les fidèles à la marche de l’Église pour que tous puissent davantage contribuer à sa vitalité missionnaire, estime Mgr Matthieu Rougé.
Pour marquer la clôture de la deuxième session du Synode, KTO vous propose une mise en perspective des travaux réalisés à Rome avec des participants. Quel message les 368 membres du synode adressent-ils à l’Eglise ? Quel chemin parcouru ? A quoi aboutit cette démarche sur la synodalité impulsée par le pape François ? Quelle portée et quels impacts concrets ? Avec notamment le cardinal Fridolin Ambongo Besungu (archevêque de Kinshasa), Mère Yvonne Reungoat (membre du Dicastère pour les évêques), Mgr Matthieu Rougé (évêque de Nanterre) et soeur Nathalie Becquart, xavière et sous-secrétaire du secrétariat général du Synode des Evêques.
À Rome se tient depuis le début du mois, le Synode sur la synodalité, une grande assemblée ayant pour but de réfléchir à l'avenir de l'Église catholique. La place des femmes au sein de l'organisation religieuse, l’ordination d’hommes mariés, la gouvernance… Plusieurs sujets d’importance y sont abordés. Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre et participant à l'évènement, témoigne de l'avancée des discussions.
Ce 4 octobre, fête de Saint François, la deuxième Congrégation générale s'est ouverte avec la lecture des rapports des cinq tables de langues ainsi que 36 interventions libres sur des sujets tels que les charismes et les ministères, la liturgie, le dialogue avec les cultures et les religions.
La deuxième session du synode sur l'avenir de l'Église a débuté ce mercredi 2 octobre 2024 à Rome. Alors quelques 370 participants sont arrivés dans la Ville Éternelle, Mgr Mathieu Rougé, l'évêque de Nanterre, qui fait lui même partie de l'assemblée synodale, pointe les enjeux de cet évènement religieux historique.
Du point de vue des hommes et des femmes de foi, c'est un travail de pensée politique qui est le plus le plus urgent, déclare Mgr Matthieu Rougé. Les questions anthropologique, les questions du sens de la personne humaine, de ce que peut être le bien commun pour une société finalement, n'ont pas été suffisamment profondément abordées.
A l'occasion de la Veillée pour la Vie organisée ce soir à Saint-Germain l'Auxerrois à Paris, Monseigneur Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, revient sur les enjeux d'une telle veillée organisée depuis 15 ans à l'initiative de l'ensemble des évêques d'Ile-de-France.
Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre est le grand témoin de Louis Daufresne. Il rappelle que la vie est un don à accueillir avec reconnaissance, à honorer, à défendre.
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