La lettre des évêques rassemblés en Assemblée Plénière à Lourdes, à l'attention de tous les fidèles et de ceux qui s'intéressent à la vie de l'Eglise en France.
En cohérence avec le travail mené par la Conférence des évêques et dans un esprit de synodalité, des fidèles du diocèse, aux états de vie et aux compétences variées, m’aident à travailler en vue d’une véritable culture de la bientraitance, de dispositifs de prévention renforcés et de modes d’évaluation réguliers de ces dispositifs.
Pour la première fois, le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France (CEF) recevra, lundi 1er février 2021, pour un temps de travail suivi de la remise solennelle de la déclaration « Lutter ensemble contre l’antisémitisme et l’antijudaïsme sera la pierre de touche de toute fraternité réelle », le Grand Rabbin de France, Monsieur Haïm Korsia et le Président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), Monsieur Francis Kalifat.
Voici que nous sommes sur le point de célébrer Noël dans un climat qui peut nous sembler lourd : la crise sanitaire et ses vagues successives n’en finit pas de nous inquiéter (même si nous sommes heureusement sortis de la contrainte des jauges de l’an dernier) ; l’Eglise traverse des bourrasques successives elles aussi, souvent ressenties comme gravement déstabilisantes.
Le Pape François vient d’accepter la démission de Mgr Michel Aupetit, qui a été évêque de notre diocèse de 2014 à 2017.
Le rapport de la CIASE (commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise) vient d’être publié. Ce qu’il nous dit des abus sexuels commis dans le cadre ecclésial est terrible et révoltant. Comme l’a déclaré Mgr Eric de Moulins-Beaufort, Président de la Conférence des évêques de France, « la voix des victimes nous bouleverse, leur nombre nous accable ».
Le Motu Proprio Traditionis Custodes publié hier par le Pape François a pu susciter de l’inquiétude dans les communautés qui célèbrent habituellement selon le Missel de 1962. Il me semble que ce que nous vivons si paisiblement dans notre diocèse n’est guère impacté par les directives nouvelles
Pâques n’est pas un poisson d’avril, au sens courant du terme ! Non seulement parce que nous célébrons cette année la résurrection du Christ le 4 avril mais surtout parce que nous croyons que le Christ, mort sur la croix, en portant tous les péchés et toutes les souffrances du monde, est bel et bien ressuscité. Comme aiment à le proclamer les chrétiens depuis l’Antiquité le jour de Pâques : « Il est vraiment ressuscité ! ».
Déclaration du Conseil permanent de la Conférence des évêques de France réuni en juin 2021, à propos du projet de loi révisant les lois de bioéthique en discussion à l’Assemblée nationale.
Nous traversons décidément une période difficile, trop difficile pensent peut-être certains. La persistance du coronavirus est éprouvante pour tous. Je pense bien sûr tout spécialement aux malades, aux soignants mis à rude épreuve ainsi qu’aux défunts et aux familles en deuil. J’imagine l’inquiétude familiale, spirituelle, professionnelle, économique qui peut vous habiter au seuil d’un reconfinement notamment liturgique.
Venez chanter, méditer et plus encore à la Maison de la Parole.
Venez visiter l’église Saint-François-de Sales de...
Le 13 mai 2025 à 15H30, nous vous donnons rendez-vous à...
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