Cinq ans après les attentats du 13 novembre 2015, qui ont causé la mort de 131 personnes et fait plus de 350 blessés à Paris et à Saint-Denis, la menace terroriste est toujours présente.
Les visages des victimes de Nice n’étaient pas des caricatures mais des visages de l’amour qui sculptaient leur vie. Ce sont les visages, les mots et les actes aimants librement qui construisent la paix d’une société.
Au programme de cette édition : les interviews politiques de David Assouline, sénateur (PS) de Paris et Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre.
Nous traversons décidément une période difficile, trop difficile pensent peut-être certains. La persistance du coronavirus est éprouvante pour tous. Je pense bien sûr tout spécialement aux malades, aux soignants mis à rude épreuve ainsi qu’aux défunts et aux familles en deuil. J’imagine l’inquiétude familiale, spirituelle, professionnelle, économique qui peut vous habiter au seuil d’un reconfinement notamment liturgique.
Mgr Mathieu Rougé, Évêque de Nanterre, est l'invité de Simon Ruben. Ensemble, ils reviennent sur l'attentat de Nice qui a frappé la France ce jeudi ainsi que toute la communauté catholique.
Déclaration ce soir de Mgr Rougé sur CNews : "Ma première réaction c'est la prière, pour demander à Dieu de désarmer les cœurs et de susciter des artisans de paix. Et ensuite dans un grand climat d'espérance, de confiance, demander une certaine détermination à l'action. La sérénité, la paix des chrétiens ce n'est pas la faiblesse."
Quel monde édifions-nous ? Quelle solidarité voulons-nous ? Aussi bien pour nous que pour les générations à venir. Les crises sociales et les alertes écologiques traduisent une réelle inquiétude, tandis que la pandémie du COVID-19 a révélé notre fragilité humaine et économique. La loi de bioéthique va-t-elle augmenter le désarroi ?
Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, a publié, lundi 1er juin, une lettre pastorale, intitulée « Un grand vent de liberté ».
« France, fille aînée de l'Église, es-tu fidèle aux promesses de ton baptême ? - Jean-Paul II l'a demandé il y a 40 ans lors de son premier pèlerinage en France. Dans Le Figaro de lundi, les propos du Pape ont été rappelés par le théologien, essayiste et évêque de Nanterre, Matthieu Rouge.
Invité sur Europe 1 pour le Lundi de Pentecôte, Monseigneur Matthieu Rougé estime que cette importante fête pour les catholiques est "un grand déconfinement" : "C'est à ce moment que les premiers disciples du Christ ressuscité ont reçu la force intérieure pour braver leur peur et commencer leur mission".
Mgr Matthieu Rougé répond aux questions de franceinfo après la réouverture des célébrations liturgiques au public dans les Hauts-de-Seine.
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Rendez-vous pour les nouveaux catéchistes !